Re-Naissance _* Un forum pas comme les autres

Journal d’Aby Parker

{15 Juliet 1892}

Je suis Abigail Parker, mais tous mes amis m’appellent Aby. J’ai 20 ans et je suis à la Fac de Droit à l’université d’Harvard. Je ne sais comment, mais je me retrouve aujourd’hui dans un endroit que je ne connais pas mais qui m’est tout de même étrangement familier. Et ce qui est encore plus étrange c’est que je suis vivante et en pleine santé. En effet, tout ce dont je me rappelle c’est que j’étais en vacance dans ma ville natale à Danver pour rendre visite à mes parents quand une épidémie a touché la ville. Une maladie que j’ai contracté et alors que je me croyais morte, me voici ici, dans cette clairière, en pleine forme. Est-ce un rêve ? Ou tout simplement suis-je au paradis ? Cela ne se peut pas. Tout d’abord, parce que je ne me suis jamais senti aussi vivante de ma vie. Et deuxièmement, j’ai la conviction que je ne suis pas mort. Comment je le sais ? Je le sais et c’est tout. Pas besoin d’explication. Cependant, une chose inexplicable m'est arrivé depuis l’instant où je me suis réveillée dans cette clairière, et je ne sais pas si c’est mon imagination, ou autre chose. J’ai en quelque sorte développé un pouvoir. Oui, un pouvoir surnaturel, ou un don si vous le voulez. Par ma simple pensée je peux déplacée et faire apparaitre n’importe quel objet. C’est effrayant et fascinant par la même occasion.
Depuis mon réveil, j’essaie de cherché où je suis et j’ai rencontré une jeune femme des plus curieuse sur ma route. Elle se prénommé Blanche Winster et elle devait avoir le même âge que moi. Cependant, de plus d’avoir un prénom ancien, son style vestimentaire était des plus ancien. Une longue robe dans les tons pastel avec un corset qui lui épousait la taille. Elle m’apprit donc que j’étais dans le village de Salem, un petit village situé au Massachusetts, non loin de Salem et que nous étions non pas en 2009 mais en 1892. Cela ne pouvait pas être réel. Aucune explication plausible peut expliquer comment j’ai fait un saut dans le passé mais je ne pouvais rien faire que d’y croire et d’espérer de retourner un jour dans mon époque. J’ai tout de même évité de mentionner à Blanche que j’avais un don. Cela était hors de question. D’ailleurs, ce village n’est autre que la petite ville où je suis née et qui était touché par cette épidémie. Désormais, si je voulais survivre, la seule chose qui me rester à faire, c’était de faire profil bas jusqu'à ce que je comprenne enfin qu’est-ce qui m’arrive.