Demandes de partenariats

«1999. Cela faisait au moins dix ans que dans la ville de Paris, les gens pouvaient faire à peu près ce qu'ils voulaient. Ils étaient quand même classé selon leur situation financière. Tout ce passait pour le mieux quand, malheureusement le gouvernement décida de mettre en route une loi, une loi qui allait changer beaucoup de chose.» Allégeance



«La loi spéciale, comme ils aimaient l'appeler. Elle était spéciale, car elle obligeait les parents de trouver une épouse ou un époux à leur enfant, quand ils avaient l'âge requis. Pour une fille, elle devait être marié au minimum à 16 ans, mais tout de même avant l'âge de 17 ans, sinon elle devrait être obliger de rester seule jusqu'à la fin de ces jours. Pour un homme, il a 8 ans pour que ces parents lui trouve une épouse, et le minimum d'âge est obligatoirement 27 ans. Un petit Post-sciptum avec ça, les gens, enfin les êtres humain au sexe masculin ressemblant trop à une fille, peuvent être aussi marier à l'âge de 16 ans. Le gouvernement va un peu trop loin sur cette loi je trouve, je dois dire que c'est écrit en tout petit caractère en bas de cette loi, donc ça ce peu que vous ne l'aillez pas vu...» Résumé par Violence



«Les jeunes adolescents sont scandalisé, pourquoi ne peuvent-ils pas ce marier avec qui ils veulent? La loi, cette loi, les empêchent de faire ce qu'ils veulent d'eux même, leurs parents suivent à la lettre cette loi, la trouvant quand même bien, car ils ont le choix de la personne épousera leur enfant. Les jeunes n'aiment pas ça, car pendant leur scolarité, ils apprennent à connaître, d'autre comme eux et des couples se forment, malheureusement ceux-ci se brisent à chaque fois qu'une demoiselle atteint l'âge requis. » Une Désobéissance



« Petite information pour la population, c'est rendu payant d'avoir une fille, les gens veulent les plus belles pour leur fils, alors les parents qui ont de belles filles font un peu profit pour marier leur fille. Quel arnaque! Mais bon, ce n'est pas le gouvernement qui a créé ça, alors personnes ne chialent. Encore heureux, vous imaginez l'anarchie qui règnerait si ça avait été le gouvernement qui aurait mit cette façon de faire ingrate? » By Dépendance



«Nous sommes en 2009, plusieurs couples sont formé par loi spéciale, pour la majorité tout ce passe bien, mais comme rien n'est parfait et bien il y a des couples que ça ne marche pas du tout. Petit conseil, attention à vos actes, on ne tombe pas toujours sur des gens nets...» Le porte-parole des gens, Désobéissance.



«Mais vous, où êtes-vous? Quel âge avez-vous? Vous êtes une fille ou un garçons? Êtes-vous marié? Comment ça, se passe-t-il dans votre couple? L'aimez-vous? Êtes-vous rendu dépendant de cette personne? » Le questionnement de Dépendance.

21 Janvier 2009, Paris - 14h45.

« Non, non et non. Combien de fois vous-ai-je dis de ne pas faire d’ourlet ??? Une femme doit être à l’aise dans ses vêtements ! Croyez-vous que quelqu’un oserait porter un torchon pareil ? Reprenez ça tout de suite ; je ne vous lâche plus jusqu’à ce que ce soit parfait. »

La couturière s’éloigne, tète baissée, et reprend son ouvrage après avoir été remise à sa place par Madame De Monty. Tout le monde sait qu’elle est exigeante mais c’est le prix à payer ; Madame veut garder sa place de souveraine de la haute couture.
Après s’être énervée, Elizabeth De Monty se lève, exaspérée, et se dirige à la fenêtre ou elle se mit à observer l’Avenue Montaigne. Du haut de son empire, Madame pouvait voir les ateliers de celle qu’elle avait toujours considérée comme sa rivale : Hélène De Fontain. Cette femme représentait une menace et Madame se montrait très hypocrite. Pourquoi essayer d’être aimable avec quelqu’un qui tente de prendre votre place ?


De l'autre coté de l'Avenue Montaigne, c'est le même cirque. Hélène Fontain est plus que tendue...Dans deux jours, elle devra présenter sa collection devant des centaines de parisiens de la Haute Société, sous le regard de Elizabeth De Monty, laquelle guettera la moindre erreur. Alors que Madame Fontain reprenait une fois de plus l'une de ses couturières, un cri d'horreur se fit entendre dans le secrétariat. Alertée, Hélène se précipita à l'intérieur et découvrit avec horreur le corps ensanglanté de Eleanor Ronet, sa secrétaire...
Terrorisée, Hélène se dirigea à la fenêtre et regarda en direction des ateliers De Monty. La seule chose qu'elle murmura fut
"Tu me le paieras, De Monty."

Jusqu'à ce jour, personne n'a trouvé le véritable coupable et la haine que ces deux modistes cultivaient ne faisait qu'empirer. L'une accusait l'autre d'avoir tenté de la déstabiliser tandis que l'autre essayait de se défendre comme elle le pouvait. Saurez-vous trouver la vérité ?
Bienvenue au cœur de la haute couture.